Un peu de douceur dans ce monde de brutes…

Quinze ans que je n’avais pas ouvert un Grisham, ravie de m’être arrêtée pour celui-ci.

Bruce tient une librairie sur l’île de Camino en Floride, le business tourne bien, autour de lui se concentre un groupe d’écrivains, une seconde famille.

Par une soirée d’août torride, l’ouragan Léo, qui a déjà fait des ravages partout sur son passage, arrive en droite ligne sur Camino.

Certains sont partis suivant les consignes des autorités, d’autres ont décidé de se murer chez eux. Bruce, resté chez lui avec un des jeunes étudiants qui travaille à la librairie durant l’été, est pris au piège de Léo.

Le lendemain ils découvrent le chaos, coupés du monde, ils décident de partir aux nouvelles de leurs amis toujours sur l’île.

Ils découvriront un des leurs, l’auteur à succès Nelson Kerr, mort sur sa terrasse. La police locale le déclare décédé suite aux coups reçu par de nombreux objets emportés par l’ouragan.

Bruce, Nick le stagiaire et Bob l’ancien détenu reconverti en écrivain sont moins d’accord.

Commence la traque, pourquoi en vouloir à Nelson? Qu’était-il en train d’écrire?

L’intrigue est bien montée, le sujet en lien direct avec l’actualité. Je ne vous en dit pas plus.

Si vous aimez un bon policier, il est à mettre dans votre PAL

John Grisham, Camino Winds, version originale, 292 pages

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