Frida forever

La psy en moi pose le constat suivant : je suis obsessionnelle...

La Grande Guerre, les livres, mes auteurs favoris et Frida Kahlo...

Kahlo donc, cette icône féministe, depuis quelques décennies. Cette femme à la volonté hors norme, qui traversera la polio, l’Accident, les souffrances physiques et émotionnelles. Et transcrira le tout dans sa peinture.

Un style qui peut heurter, déplaire mais qui laissera rarement indifférent. Depuis son lit, elle se crée un univers onirique, se projette dans le lyrisme mexicain, transcendant sa douleur.

Le film Frida, date de 2002, Salma Hayek y interprète l’artiste avec tant de tripes qu’elles me sont devenues indissociables.

De la Tate Gallery au Brooklyn Museum, j’ai arpenté les expositions qui lui sont consacrées. À chaque fois c’est un coup de poing. L’émotion est tellement forte.

J’ai terminé le livre « Rien n’est noir » de Claire Berest, l’âme de Frida et Diego est présente, le style est fluide, les pages se tournent facilement. C’est une bonne introduction à ce talent puissant.

Si vous ne connaissez pas Frida, son œuvre et sa vie. C’est une lecture vivement recommandée. L’affrontement des deux monstres sacrés mexicains en imprègne chaque page.

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